Salut à toutes et à tous, je suis de retour sur la toile après deux petits mois de quasi silence. Mes doigts reprennent spontanément et facilement leur place sur le clavier, ma curiosité est nourrie à la perspective des articles qui vont naître. Je ne sais jamais à l’avance quel thème émergera et quels mots l’illustreront.
Oui, j’arrête la géobiologie. Une expérience menée dernièrement m’en a définitivement convaincue. Ah… enfin… pourraient se dire certains, elle revient à des considérations plus rationnelles et raisonnables. Enfin quoi, ces baguettes, ce pendule … Elle est ingénieur de formation quand même. Et puis ces histoires d’entités, de présences qui lui parleraient et qu’elle aiderait soi-disant à se libérer. C’est carrément flippant. Paraîtrait même qu’on la voit parler toute seule dans la nature.
Ou bien : Mais quel dommage! Il y a besoin de gens compétents pour nettoyer les lieux des mauvaises ondes et permettre aux habitants d’être en meilleure forme et en meilleure santé.
J’ai décidé de tester une approche innovante d’accompagnement de dirigeants de TPE ou PME, incluant l’‘équilibrage de leur lieu professionnel et des équilibrages individuels (si vous êtes intéressé.e à faire partie du panel des « cobayes », contactez-moi ).
Lors d’une intervention dans une petite entreprise, accompagnée du dirigeant, j’ai été très impressionnée par ce qui s’est passé, même si je savais en théorie que c’était possible. J’avais constaté dans le lieu l’influence de failles, de phénomènes géobiologiques négatifs et je m’apprêtais à procéder à leur neutralisation en impliquant le dirigeant. Je ne me suis pas pour autant arrêtée à constater la présence d’une faille, j’ai proposé les questionnements qui me venaient. Mais qu’y a-t-il de chaque coté, que sépare donc cette faille? C’est en explorant cette question qu’une problématique centrale, en lien avec l’entreprise, a été évoquée et qu’une réponse non moins essentielle et inattendue a émergé également. Dans le jargon des professionnels de l’accompagnement, mon client a vécu un changement de type 2, c’est à dire un changement radical de vision. Pour les non initiés, un changement de type 1 conduit à l’amélioration de la bougie, un changement de type 2 à l’invention de l’électricité.
Dans un changement de type 2, c’est tout le système qui bouge… et c’est avec surprise et émerveillement, même si je savais que cela fonctionnait comme cela, que j’ai pu constater qu’après ce changement chez le dirigeant, la plupart des perturbations géobiologiques du lieu avaient disparu. Voyez l’image du mobile qui illustre cet article. En bougeant un élément, tout le système bouge. En changeant un élément, tout le système trouve un nouvel équilibre. Quand une croyance profonde change, notre réalité se modifie sans effort…
Alors oui, j’arrête vraiment ce qui me restait de pratique de la géobiologie au sens traditionnel du terme, celle qui se limite à supprimer les effets « mauvaises ondes » . Dans ma vision et mon expérience, c’est la suppression d’un symptôme. Je pratique l’équilibrage des lieux avec une approche systémique, c’est à dire qui regarde le lieu, ses habitants, leur histoire comme un tout, comme ce mobile qui illustre cet article.
Pour le moment, je continue mes expérimentations d’une approche « coaching dans le lieu » (!!!) pour des dirigeants et les particuliers prêts à vivre cette aventure avec moi. Ce qui pourrait devenir une nouvelle offre dans les mois à venir réunirait mes diverses compétences : le pragmatisme et l’approche globale de l’ingénieur en entreprise, l’accompagnement de coach , la connexion à des dimensions subtiles de la praticienne en équilibrage de l’aura, la sensibilité aux énergies de la Terre de la géobiologue.