Quand vous souhaitez mener à bien quelque chose, ça vous arrive de vous épuiser, de vous décourager, de fulminer, de vous sentir victime de malédiction, d’être entouré de saboteurs, de faire des super visualisations positives stériles, de consulter des conseils en tous genres, de ne pas vous sentir à la hauteur, de pousser, de tirer, de forcer, de méditer, d’invoquer la loi de l’attraction … SANS RESULTAT joyeux et satisfaisant?
Dans la première phase d’écriture de « Le Pardon de soi », j’ai expérimenté une grande partie de tout cela. Petit à petit, j’ai perdu la foi, je devais me forcer à me mettre à mon clavier, je n’y croyais plus, ce n’était plus joyeux … Oh, le contenu était quand même honorable, autant qu’un mode d’emploi de machine à laver.
J’étais dans le mental et dans l’effort. Je faisais une affaire personnelle de terminer ce livre et de sa réussite. En soi, cela a été une expérience intéressante. Jusqu’au jour où j’ai eu un déclic. J’ai compris que ce livre n’était pas « mon » projet : c’était ‘Le Pardon de soi’ et j’étais à son service. Telle une entité, il avait une identité et une destinée propre. Il me suffisait d’entrer en relation avec lui, comme avec un être vivant et de le laisser me guider.
Tout a changé à dater de ce jour et le livre n’a plus grand chose à voir avec ce que j’avais projeté sur lui mentalement! Je ne pousse plus, je ne tire plus, je ne porte plus … j’accompagne joyeusement et j’agis en écoutant intuitions, inspirations et synchronicités.
Je ne vais pas ici vous écrire un mode d’emploi type machine à laver : prélavage, lavage, rinçages, essorage mais plutôt vous proposer des questionnements si cette approche vous paraît être une piste d’exploration pour vous.
– Est-ce que votre projet, le but pour lequel vous avez aujourd’hui des difficultés ou une interrogation porte un nom? Si ce n’est pas le cas, je vous invite à le baptiser. Selon un très ancien dicton basque que m’a transmis mon amie Solange : Tout ce qui a un nom existe, tout ce qui est nommé existe.
– Quand il est nommé, vous pouvez alors entrer en relation avec. Fermez les yeux, imaginez que xxxxxxx est devant vous (ou faites comme si) et ayez un dialogue. Demandez de quoi il ou elle a besoin, quel est son projet dans le monde,que vise-t-il. Demandez lui de vous envoyer des informations. Accueillez tout ce qui vous vient spontanément.
(Vous pouvez aussi faire cela en marchant, en prenant un crayon et en écrivant tout ce qui vient, en dessinant … Chacun, chacune a son propre style.)
– Chaque jour (ou presque … ce n’est pas facile de changer d’habitude!), se poser et demander à être guidé-e pour soutenir xxxxx et pour lever les obstacles qui pourraient exister (souvent des limitations intérieures!) .
Le plus important est la posture et de faire comme si ce projet xxxxxx était un être vivant séparé de vous, avec sa vision propre et son identité. Le résultat est souvent surprenant, parfois étonnamment naturel, comme si on renouait avec une façon de faire familière.
Le ‘Pardon de soi’ ou comment se réconcilier avec sa vie, TOUTE sa vie.
Anne Corbellari Gingrich
Merci Laurence
Je vais essayer
Pour mon site internet
Bises
Ghislaine NOAILLES
Je vais essayer et je sens que ça va déjà donner du sens !
Labib Isabelle
Merci Laurence, c’est exactement ce que j’avais besoin de lire!