Depuis deux semaines, chaque jour je crois qu’il n’y a presque plus rien à faire pour que mon livre paraisse. Chaque jour, je progresse et … je découvre que non, il y a encore autre chose. Je ne vais pas vous mentir, lors de l’écriture de mon précédent article, j’imaginais que le suivant annoncerait la naissance de « Le Pardon de soi ».
Ce matin, après avoir vérifié que décidément, non, il n’était pas en mon pouvoir d’accélérer les choses, et observant que je n’aimais pas ça du tout, je me suis demandé ce que j’allais bien pouvoir faire dans cet état d’impatience où je me trouvais. Une voix intérieure m’a dit, « ne lutte pas avec ce qui est, danse avec ».
J’ai commencé par prendre un temps de méditation en imaginant mon impatience devant moi. Nous avons papoté un moment. J’ai réalisé la différence entre « attendre avec l’ego aux commandes » et « attendre avec l’Amour aux commandes ». Entre vivre l’attente joyeusement et pleinement, et vivre l’attente dans la crispation,comme si cela allait aider le processus à aller plus vite. Entre dire oui à la réalité dans un grand rire aimant ou lui dire m….., tu ne me laisses pas le choix. J’ai pris conscience combien depuis le début de ce projet, chaque contretemps et chaque difficulté se sont révélés précieux.
J’ai décidé d’écrire cet article, puisque décidément, son sujet ne serait pas la parution de « Le Pardon de soi ». J’ai cherché une image sur internet. Habituellement, j’en trouve une dès la première page. Pas cette fois-ci. J’ai entendu une inspiration qui me soufflait « prends une carte de Doreen Virtue ». OK. Attirée par le jeu « Licornes Magiques », je l’ai ouvert et c’est cette carte qui était sur le dessus: « Attendre vaut la peine ». J’ai beau le vivre chaque fois, je ne me lasse pas de m’émerveiller de ces synchronicités! Quand je pense que si j’avais continué à ronger mon frein, ce ne serait pas arrivé! (c’est rigolo comme expression « ronger son frein », j’ai dû aller chercher son origine).
Quand est-ce qu’il parait alors ce livre? Vous êtes nombreuses et nombreux à me le demander. Bientôt… en fait, je suis à son service et je ne connais pas plus sa date de naissance que celles de mes enfants quand je les attendais! Je peux juste imaginer que c’est dans le mois qui vient 😉